Adeline Blondieau parle de IDF1 !!!

Dans une Interview accordé à France Soir, Adeline Blondieau fait part de son dégout pour la chaîne IDF1...

“Le célibat n’est pas une tare”

Propos recueillis par Ingrid Bernard, le vendredi 5 juin 2009 à 04:00


Non, Adeline Blondieau n’est pas qu’une jolie nana. La comédienne fourmille de projets artistiques. Elle vient de sortir sa sixième BD, mais écrit aussi des sujets pour la télé et le théâtre.

Quelle meilleure source d’inspiration que le célibat ? Avant de trouver l’homme de ses rêves, Adeline Blondiau a eu le temps d’expérimenter différentes techniques de drague qu’elle met en scène dans Les Citadines, les guerrières du slip.

FRANCE-SOIR. On découvre dans votre BD que le prince charmant n’existe pas…
Eh oui ! désolée, les filles… Avec cette BD, j’ai voulu montrer que l’on était toujours à la recherche de quelque chose qui n’existait pas. Et qu’il fallait peut-être aller chercher ailleurs… L’homme idéal est peut-être une femme. D’ailleurs, dans le prochain tome, que je suis en train d’écrire, j’aborderai le thème de la drague entre lesbiennes.

Vous avez commencé cet album lorsque vous étiez célibataire. Ironie du sort, vous l’avez terminé en étant casée…
Oui, je trouve ça assez drôle d’ailleurs. Pendant ma période de célibat, j’ai eu le temps d’expérimenter certaines techniques de drague que j’ai développées dans la BD. La tenue de combat, par exemple. Lorsqu’elles sont de sortie, les filles mettent des heures à choisir leurs fringues et surtout leurs dessous en se posant des milliers de questions. Mettre un « string qui tue », ça joue sur le moral et la confiance en soi. Même si on se rend compte, au final, que ce n’est pas la tenue mais l’attitude qui fait tout !

Les femmes sont-elles aujourd’hui plus entreprenantes qu’avant ?
Ce sont des mutantes. Les femmes n’ont jamais cessé de chercher des solutions pour gagner en liberté. Elles ont été obligées d’employer d’autres moyens que la force physique. Aujourd’hui elles sont armées pour affronter les mâles, il leur suffit de se servir de l’orgueil masculin.

Vous mettez en scène quatre citadines : la branchée, la business-woman, la romantique et la mère de famille. Laquelle vous ressemble-t-elle le plus ?
Cela dépend des jours. La plupart du temps, j’oscille entre la business-woman et la branchée. D’ailleurs, physiquement, je suis assez proche de la femme d’affaires. Je me retrouve aussi dans le côté décalé de la mère de famille qui a toujours un pied dans la réalité.

Ce n’est pas la première fois que vous écrivez sur le célibat. Seriez-vous obsédée par cette période de la vie ?
Non. Mais ce qui me frappe, c’est que dans les mentalités le célibat est une tare. On a inculqué, depuis la nuit des temps, un schéma de famille idéal. Du coup, les gens ne comprennent pas que l’on puisse se retrouver célibataire. Certaines personnes sont faites pour vivre seules, il n’y a rien de mal là-dedans. Il faut aussi comprendre que la société a beaucoup évolué. Avant, les couples étaient fondés sur des valeurs. Aujourd’hui il n’y a plus que des mariages d’amour. Et l’amour, ça fluctue. On ne peut pas jurer éternité.

Vous écrivez également des sujets pour la télévision et le théâtre. Dans quel domaine vous sentez-vous le plus libre ?
Dans la BD, puisqu’on n’est pas soumis aux coûts de production comme à la télévision. Malheureusement, aujourd’hui, on ne laisse plus le temps aux séries de s’installer, dans chacun des domaines.

Vous vous faites plutôt discrète à l’antenne. Est-ce par choix ou par manque de propositions ?
J’ai été tellement écœurée par le métier que j’ai décidé de prendre un peu de recul. L’année dernière, j’ai lancé une émission sur la BD sur IDF1. J’ai présenté quatre émissions, et le producteur (NDLR : Jean-Luc Azoulay) que je connais pourtant depuis longtemps m’a piqué mon projet et l’a remplacé par Dorothée. Je suis tombée de haut. Je commence seulement aujourd’hui à reprendre du plaisir à jouer grâce au théâtre et à la pièce Les Monologues du vagin.

Il se dit que Sous le soleil pourrait revenir à l’écran. Serez-vous de la partie ?
Beaucoup de choses se disent qui ne sont pas forcément avérées. Je suis resté très copine avec Bénédicte et Tonia. Pour l’instant, le retour de Sous le soleil ne semble pas d’actualité. Je ne pense pas que je serai de la partie de toute façon, puisque mon personnage est mort. Même si on en a vu ressusciter plus d’un à la télévision !

Pourriez-vous à nouveau jouer dans une série ?
Si le scénario m’intéresse, pourquoi pas ? Mais, je suis déjà très occupée en ce moment, entre l’écriture du nouveau tome de la BD, un projet de science-fiction sur la TNT et une émission sur le spa sur Internet.
Les Citadines, les guerrières du slip, d’Adeline Blondieau et Eva Rollin, Bamboo éd., 48 p., 9,95 euros.

http://www.francesoir.fr/television/2009/06/05/adeline-blondieau-le-celibat-n-est-pas-une-tare.html

oh ben ses propos se comprennent... on avait été aussi surpris à l'époque!! c'est pas très classe de la part de JLA

assez d'accord avec olivia c'est vrai que la remplacer au bout de si peu d'émissions sans rien dire et sans lui dire pourquoi c'est totalement limite de la part de JLA

ça se comprend, mais en même temps elle n'est pas obligée de raconter ça pendant 107 ans non plus Systématiquement, dans chacune de ses interviews depuis octobre, elle en parle !!!

mdr pour le coup d'azoulay. c'est vrai ou pas ?

Merci pour l'interview !

seb a écrit:ça se comprend, mais en même temps elle n'est pas obligée de raconter ça pendant 107 ans non plus Systématiquement, dans chacune de ses interviews depuis octobre, elle en parle !!!

Les journalistes aiment bien aussi poser ce genre de questions

Jerem357 a écrit:mdr pour le coup d'azoulay. c'est vrai ou pas ?

ben oui visiblement vu qu'elle est plus sur idf1!

Merci pour l'itw ! C'est vrai que les journaliste en rajoute toujours une couche à chaque fois ....
J'aime beaucoup Dorothée mais c'est vrai que sur ce coup là jla n'a pas été classe !
Et puis j'adore lire Adeline , elle répond tjs franchement aux questions